Highway to Heaven
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« When the sun rises » • SARAH

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Dwayne S. Marshall
Dwayne S. Marshall
« Cause even though you left me here
I have nothing left to fear »

★ NOM DE L'AVATAR : Paul Walker
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MessageSujet: « When the sun rises » • SARAH « When the sun rises » • SARAH EmptySam 13 Fév - 13:55

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Sarah R. Green & Dwayne S. Marshall
When the sun rises

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    Rien à priori ne différenciait ce matin du précédent, non, rien du tout. La même grisaille dehors, laissant penser qu'il allait pleuvoir alors que pourtant pas une goutte d'eau n'était tombée ces trois derniers jours, et qui donnait à Dwayne l'impression de passer un hiver pourri. Il y avait des jours comme ça où il ressentait pointer quelques instants par ci, par là le mal du pays qu'il avait au fond toujours un peu eut bien qu'il se soit fait une raison. Parmi toutes les choses qu'il avait détesté à Miami – et il y en avait eut un paquet ça c'était certain, quand on voyait le milieu où il avait été catapulté – il y avait le climat, vingt degrés en hiver c'était carrément le pire des endroits pour vivre selon Dwayne, et là le mal du pays il l'avait eut il n'y avait pas de doute. Il faut dire qu'en ayant vécu toute son enfance dans un coin perdu d'Alaska, avant de finalement déménagé à Chicago pour aller au lycée, il y avait un truc pour lequel il persistait et signait : un hiver sans neige, ce n'était pas un véritable hiver.
    En plus de ça il y avait depuis ces deux derniers jours une panne de chauffage dans son immeuble, et par contre bien qu'il n'y ait pas un seul flocon de neige à l'horizon cela n'empêchaient pas les températures extérieures d'être de saison … Mais Dwayne avait presque l'habitude, des pannes telles que celles-ci il y en avait fréquemment dans son immeuble, qui n'était pas situé sur Apple Street pour rien. Mais enfin pour rien au monde il n'échangerait son appartement pour un autre, pour le moment en tous les cas ; Il s'était habitué à celui-là, qui n'était pas non plus le pire du pire, et il s'était encore plus habitué à la présence et la compagnie de sa vieille voisine … Bah oui, personne ne réussissait les sablés comme elle, et en plus de ça elle n'était jamais contre une partie de cartes les soirées où l'ennui embêtait presque autant que le manque de chauffage.

    Une fois n'était pas coutume, malgré le froid qui régnait dans l'appartement Dwayne s'était endormi comme une masse la veille et avait dormi d'une seule traite jusqu'au matin. Il était presque six heures lorsque Kenaï vint se planter au pied du lit, réveillant de ce fait son maitre qui avait le sommeil tellement léger que la simple présence de quelqu'un ou quelque chose d'inhabituel suffisait à sortir du sommeil. L'animal était réglé presque aussi bien qu'une horloge, si bien que Dwayne n'aurait presque pas besoin de réveil en fin de compte, le husky se chargeant lui-même très bien de cette fonction … Comme en témoignait le radio réveil, qui se déclencha au moment ou le jeune homme se redressait l'air encore à moitié endormi.
    Et puis après ce fut comme chaque matin, pendant que Kenaï attendait plutôt impatiemment la laisse entre ses crocs Dwayne avait lui fait des allers-retours entre sa chambre, la cuisine et le salon pour : mettre la cafetière en route, retourner chercher une veste de survèt' à se mettre sur le dos pour parer au manque de chaleur, revenir à la cafetière en se disant qu'en mettant du café dedans ça marcherait sans doute mieux, jeter un coup d'œil par la fenêtre du salon pour se rendre compte que non, il n'avait vraiment pas neigé, et finalement retourner à sa chambre pour enfiler un jogging avant que Kenaï ne se mette à faire ses griffes sur la porte d'entrée pour signifier qu'il en avait vraiment marre d'attendre.

    Dehors il ne faisait pas chaud, mais cela dit après avoir passé toute une nuit à se geler à l'intérieur de son appartement Dwayne ne trouvait pas que cela soit gênant, ce qui cela dit ne l'empêcha pas de tirer un peu plus sur son bonnet pour recouvrir ses oreilles. Rapide coup d'œil à sa montre, il était sept heures moins le quart, et il n'y avait comme d'habitude à cette heure-ci pas un chat dehors. D'ailleurs c'était sans doute justement parce qu'il n'y avait personne que Dwayne continuait à aller courir à cette heure-là, non pas que notre jeune homme soit du genre anti-social mais … Presque. Enfin, surtout parce qu'il vivait dans un quartier pareil à vrai dire, la faune locale ne prêtait pas non plus vraiment à se montrer aimable même lorsque l'on savait fait preuve d'un minimum de politesse.
    Allons bon, de toute manière il n'était pas sortit courir pour s'attarder dans ce quartier, on avait déjà vu paysage plus tranquille et agréable pour courir et se réveiller le matin. D'ailleurs Kenaï connaissait le chemin, et n'hésitait pas à tirer sur sa laisse pour signifier à Dwayne que pendant que monsieur baillait aux corneilles lui aimerait bien pouvoir se dégourdir enfin les pattes. Quittant donc la rue au pas de course maitre et animal se calent donc rapidement sur la même allure et quittent le quartier pour rejoindre le Donald Mahoney Park. Lieu très prisé des promeneurs en pleine journée il était tout comme le reste de la ville beaucoup plus calme lorsqu'il était à peine sept heures du matin, surtout en cette saison, et le fait qu'il ne fasse encore qu'à moitié jour y était sans doute pour pas mal. Quoi qu'il en soit puisque l'endroit semblait aussi désert que la veille, l'avant-veille et les jours encore avant, Dwayne décida donc de détacher un peu Kenaï pour le laisser courir devant, il n'irait jamais très loin de toute manière … Sauf cette fois-ci. Bien sûr. Sans doute parce que l'endroit n'était pas aussi désert qu'il en avait l'air l'animal avait courut le long de l'allée avant de traverser la pelouse et de disparaître derrière un buisson pour aller voir on ne sait quoi de l'autre côté.

      « Kenaï reste là ! » Bah oui, c'est bien la peine de dire ça maintenant qu'il s'était tiré, très utile en effet. « Imbécile de chien … » Bon, imbécile à moitié seulement, parce qu'entre tous les chiens que Dwayne avait pu avoir, c'est à dire quand il était gamin et qu'il vivait encore au beau milieu de nul part, Kenaï avait de loin sa préférence. Sans doute parce qu'il avait longtemps été son rempart contre la solitude … Parler à un chien ça fait moins crétin que de parler tout seul, qu'on se le dise.

    Soupirant un court instant Dwayne reprend donc sa course, traversant bientôt lui aussi l'étendue d'herbe qui le séparait de l'endroit où s'était rendu l'animal, qui il n'y avait aucun doute là dessus avant certainement quelque chose en tête.
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MessageSujet: Re: « When the sun rises » • SARAH « When the sun rises » • SARAH EmptyVen 19 Fév - 1:25

Sarah décolla péniblement ses paupières l'une de l'autre. D'un œil à peine entrouvert, elle vit une lumière grisâtre à travers ses volets. La jeune femme mit du temps à se rappeler où elle était : on ne voyait normalement pas la lumière de la fenêtre de son ancienne chambre, qui donnait sur une petite ruelle digne des plus célèbres polars. Puis elle se souvint : New Heaven, l'arrestation, Alexia...
Soudain consciente que l'alarme stridente de son téléphone risquait de réveiller son amie, Sarah se leva d'un bond pour aller l'éteindre. Comme tout le monde, elle préférait rester sous la couette, mais pour sa part, elle se sentait bien réveillée ce jour-là. Motivée à découvrir la petite ville et ses habitants, elle voulait vraiment se dépêcher de trouver un travail, n'importe lequel, histoire de ne plus importuner celle qui l'hébergeait, faute de pouvoir la mettre à la porte. La jolie rousse passa à la salle de bain et se débarbouilla rapidement le visage. Elle se lava les dents en vitesse et se passa un coup de peigne. Comme d'habitude, ses cheveux faisait vraiment n'importe quoi, mais elle aurait le temps de mieux les coiffer après avoir préparé le petit déjeuner à l'intention d'Alexia et de son adorable chien.

Elle descendit doucement à la cuisine et examina les placards. Pas encore à l'aise dans la maison, elle ne trouva pas les placards renfermant de quoi manger un bon petit déjeuner. Sarah réfléchit quelques secondes et pris rapidement sa décision ; autant se lancer directement à la découverte de la ville. Elle remonta dans sa chambre, sélectionna un débardeur blanc quelconque et le pull universitaire de son frère, qu'elle chérissait. Elle les enfila rapidement, se fichant de quoi elle ressemblerait ainsi vêtue, avec un peu de chance, personne ne la verrait à l'exception du vendeur ou de la vendeuse à qui elle achèterait ses cafés. Elle enfila ensuite un jean, banal, avant de retourner admirer l'art abstrait que ses cheveux s'évertuaient à inventer. Avec un soupir excédé, elle les ramena en une stricte queue de cheval, assez haute - mieux valait éviter les frisotis s'il se mettait à pleuvoir...- avant d'enfiler ses chaussures.
Ses préparatifs terminés, elle se saisit de son porte-monnaie et grimaça en voyant ce qu'il restait à l'intérieur. Bon, les cafés ne seraient finalement pas des Grande. À nouveau, elle descendit les escaliers et se faufila par la porte d'entrée.

Elle admirait les belles bâtisses de la ville avec un doux sourire flottant sur le visage lorsqu'elle avait trouvé ce qu'elle cherchait. Toujours souriante, elle acheta 2 cafés accompagnés d'une pâtisserie. Sarah ne mangeait généralement pas le matin, mais elle pensait surtout à Alexia en achetant ce beignet. Lorsqu'elle partit, le serveur la remercia avec un sourire avant de lui souhaiter une bonne journée de cours. De cours ? Puis elle comprit. À se trimballer avec un pull d'étudiant, on devait la prendre pour telle. Une étudiante. Sarah ne savait pas si elle devait se sentir vexée ou flattée qu'on la prenne pour plus jeune qu'elle n'était...

Elle en était à ce stade là de ses réflexions, sur le chemin du retour, au milieu du parc, lorsqu'elle entendit une exclamation, la ramenant à la réalité. Elle s'arrêta, méfiante et regarda autour d'elle. Personne, juste un buisson qui s'agitait. La jeune femme fronça ses délicats sourcils. Allons bon, un buisson épileptique maintenant. Elle n'avait toujours pas bougé lorsqu'un gros chien surgit du buisson et lui fonça dessus. Rapide, l'animal arriva sur elle à tout vitesse avant de lui sauter dessus, la faisant tomber à la renverse. Sarah n'avait pas eu le temps d'ouvrir la bouche, mais elle retrouva très vite l'usage de ses cordes vocales lorsqu'elle sentit un liquide chaud se répandre sur son sweat adoré.

    "EEehhhhhhh !!" s'indigna-t-elle. La réplique n'était pas vraiment glorieuse, mais elle n'avait rien trouvé de mieux, choquée que l'animal la confonde avec un lampadaire. Elle vit une silhouette saisir le chien par le collier et le soulever, l'obligeant à se trouver un autre matelas.
    Sarah poussa un soupir soulagé lorsqu'elle s'aperçut que ce qu'elle avait senti couler sur elle était ses cafés, et non pas autre chose...
    Elle se releva, puis contempla le pull dévasté.

    "Oh noooon...." constata-t-elle avec une moue désespérée. Puis elle releva les yeux vers l'homme qui lui faisait face. Il avait l'air terriblement gêné... et aussi au bord du fou rire. Elle avait une tête si dépitée que ça ? Au comble de la honte, Sarah ne trouvait rien à dire, rouge tomate. Elle attendait que l'homme lui dise quelque chose, n'importe quoi, mais qu'il la sorte de cette situation...
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MessageSujet: Re: « When the sun rises » • SARAH « When the sun rises » • SARAH EmptyMer 3 Mar - 5:51

    Malgré que la semaine ne soit pas encore terminée Dwayne n'avait pas ce matin à se presser pour rentrer chez lui, afin de prendre rapidement une douche avant d'avaler une tasse de café et de partir bosser. En effet ce jour là il ne travaillait pas avant l'après-midi, pour compenser le fait qu'il était de permanence et ne rentrerait pas chez lui de la nuit. C'était d'ailleurs une des autres raisons au fait qu'il avait détaché Kenaï, il allait rentrer sur le coup de six ou sept heures du matin et n'aurait vraiment ni le courage ni la force nécessaire pour aller courir avec lui sans risquer de tomber par mégarde dans une bouche d'égout ou bien de se prendre un poteau électrique en pleine face pour ne pas avoir gardé les yeux ouverts en même temps qu'il courrait. Ça, Dwayne ne dormait certes plus du sommeil du juste depuis un bon bout de temps maintenant mais cela n'empêchait pas que si il était vraiment crevé il ne ferait pas le difficile pour aller se coucher … Et puis les cachets contre troubles du sommeil qu'il avalait comme des bonbons avaient encore leur effet, alors autant en profiter après tout.
    Mais bref, là n'était pas le sujet, la priorité c'était de rattraper cet imbécile de clébard avant qu'il ne lui prenne l'idée de sortir du parc et d'aller terroriser ceux qui commenceraient à mettre le nez dehors pour rejoindre leur boulot. Non mais que Kenaï soit un chien agressif, à vrai dire il ne le devenait que lorsqu'il se sentait menacé, mais cela dit même si c'était presque tout le temps pour jouer il restait assez brusque et avait du mal à réaliser que sa carrure pouvait en effrayer certains. Et à en juger par le « Eeehhhhhhh !! » qu'il venait d'entendre l'animal n'avait pas attendu longtemps avant de trouver quelqu'un sur son passage, même si cela n'expliquait toujours pas qu'il se soit tiré comme ça alors qu'il ne le faisait jamais en temps normal. Si maintenant même le chien commençait à jouer les indisciplinés on était pas sortis de l'auberge, il y avait déjà bien assez d'un maitre qui n'en faisait souvent qu'à sa tête.

    De l'autre côté des buissons s'étendait l'une des autres allées du parc, que Dwayne aurait certainement fini par rejoindre de toute façon puisqu'elle était un prolongement de celle où il se trouvait plus loin, avec que son chien ne détale à toute allure. L'animal d'ailleurs n'était pas allé bien loin, puisqu'il s'était « contenté » de prendre pour cible une jeune femme qui venait littéralement de tomber à la renverse alors qu'elle n'avait rien demandé, et qui se retrouvait maintenant couverte du café qu'elle tenait jusqu'alors dans les mains. Sans compter bien sûr le fait que, pour couronner le tout, Kenaï avait maintenant le museau fourré dans l'un des deux gobelets et léchait sans aucune hésitation les reste de café … Un chien qui boit du café, non mais n'importe quoi. Levant les yeux au ciel, Dwayne parcourt en quelques pas la courte distance qui le séparait encore de la scène, tout en s'adressant à l'animal d'un ton sévère « Meeraq ! Naunngalutit ! » … D'un ton sévère et en inuktitut, la langue traditionnelle parlée dans la région de l'Alaska où il avait grandi. A vrai dire si Dwayne s'adressait à l'animal dans cette langue ce n'était pas une question de fantaisie ou une envie de ne pas faire comme tout le monde, c'était surtout une mesure de précaution supplémentaire. Difficile en effet pour quelqu'un d'autre que lui de se faire obéir de l'animal, et ça c'était quelque chose d'utile pour quelqu'un qui vivait dans la paranoïa perpétuelle de voir son identité percée à jour.
    Attrapant enfin d'un geste vigoureux son chien par le collier, Dwayne dégage ainsi la jeune femme du poids de l'animal et rattache ensuite aussitôt Kenaï à sa laisse, qu'il n'était pas prêt de quitter avant d'être de nouveau remonté à l'appartement. Puis, posant à nouveau ses yeux sur la demoiselle, il lui tend une main pour l'aider à se relever tout en se confondant en excuses

      « J'suis vraiment désolé je sais pas ce qui lui a prit » Un chien avec un sale caractère et une tendance à n'en faire qu'à sa tête, de cabochard. Comme son maitre. Voilà ce qui lui avait prit « J'pensais pas croiser quelqu'un dans le parc si tôt, j'aurai pas du le détacher » Et il ne se risquerait plus à le faire du coup. « Et votre sweat, et vos cafés aussi j'suis désolé ... » Ouais bon, c'était bien beau de s'excuser mais ce n'était pas ça qui allait y changer quoi que ce soit, on est d'accord.

    Tandis qu'elle se remettait debout Dwayne en profita pour observer la demoiselle un peu plus longuement. Bien qu'à New Heaven depuis pas loin de trois ans maintenant, il ne se souvenait pas de l'avoir déjà croisée dans le coin auparavant, et pourtant dans une ville comme cella là il était rare de tomber sur un habitant que l'on avait encore jamais vu, même si on ne lui avait jamais adressé la parole. Bref, de mémoire donc Dwayne en conclut que la demoiselle ne devait pas faire partie des habituées de la ville, à moins d'être la personne la plus discrète qui soit. C'était aussi une possibilité cela dit, mais beaucoup moins plausible que la première vous en conviendrez. Elle devait avoir peut-être vingt-quatre ou vingt-cinq ans, vingt-six tout au plus, et son visage lui donnait l'air de quelqu'un qui respirait la bonne humeur, quelque peu gâché pour le moment par la mine déconfite qu'elle affichait face à la situation.
    Penaud, le chien s'était assis à côté de Dwayne et ne mouftait plus, sans doute parce que Dwayne ne s'énervait que rarement sur lui et que de ce fait s'il le faisait c'est qu'il l'avait mérité. Mais ce n'était pas des états-d'âme de son chien que le jeune homme se souciait pour le moment, à vrai dire il cherchait un moyen de se faire pardonner auprès de la jeune femme, qui devrait non seulement envoyer ses fringues à la machine directement en rentrant chez elle mais qui en plus de ça n'avait plus de café … Et Dwayne ne savait que trop bien à quel point une journée débutée sans qu'il n'ai pu boire son café arrivait à le mettre de mauvaise humeur pour la journée.

      « J'me vois dans l'obligation de vous repayer d'autres cafés, c'est le moins que je puisse faire » Clair qu'il n'y avait pas grand chose d'autre à proposer en fin de compte.
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